Le FRONT NATIONAL n'est pas au service des habitants du 13ème et 14ème arrondissements, les élus ne pensent qu'à avoir des "postes", ils se déchirent entre eux, alors le vrai changement c'est d'élire des élus vraiment de gauche, des élus communistes. Il ne faut pas s'abstenir aux prochaines élections le VOTE UTILE c'est le vote communistes ou les listes soutenues pas le Parti Communiste
Marseille : le maire FN des 13e et 14e, Stéphane
Ravier, lâché par ses deux adjoints
Les deux premiers adjoints au maire d'arrondissement FN de Marseille
Stéphane Ravier ont annoncé vendredi leur démission entendant dénoncer les
méthodes "dictatoriales" de l'élu d'extrême-droite.
"C'est une gestion catastrophique ! Stéphane
Ravier, c'est le capitaine du navire qui nous mène à la catastrophe",
a déclaré à l'AFP Antoine Maggio, 2e adjoint au maire des 13e et 14e
arrondissements, chargé notamment du logement social.
Il avait auparavant, tout comme sa mère, la 1e
adjointe Marie Mustachia, chargée des Finances, annoncé sa démission de son
poste d'adjoint au site d'informations locales Marsactu. Les deux élus gardent
en revanche leurs sièges au conseil municipal et à la métropole, où ils
rejoindront les bancs des non-inscrits.
Ceux-ci se sont garnis ces derniers mois dans la
mairie frontiste des quartiers nord, qui a connu plusieurs épisodes de
tensions.
"On va finir comme Toulon, Vitrolles ou
Marignane"
M. Ravier a "une gestion autocratique, les élus ne servent qu'aux petites besognes : distribuer le courrier municipal dans les boîtes aux lettre ou coller des affiches", se désole Antoine Maggio. "On va finir comme Toulon, Vitrolles ou Marignane", villes du Sud-Est gérées par le FN au milieu des années 1990, ajoute cet ancien marin de la SNCM, qui n'a pas renouvelé son adhésion au Front National.
Il précise qu'il avait fait acte de candidature pour les législatives, mais n'a pas été retenu par le parti pour l'investiture.
Adjointe aux Finances et à la Solidarité, Mme Mustachia affirme avoir été "mise à l'écart de tout" : "je n'avais pas le droit de parole, je n'avais pas les dossiers, et je ne recevais plus de courrier" d'administrés. "Il a mis en place un fonctionnement dictatorial : il décide de tout", ajoute l'élue, qui explique avoir rendu sa carte du parti. Sollicité par l'AFP vendredi soir, le sénateur-maire n'a pas donné suite
Il précise qu'il avait fait acte de candidature pour les législatives, mais n'a pas été retenu par le parti pour l'investiture.
Adjointe aux Finances et à la Solidarité, Mme Mustachia affirme avoir été "mise à l'écart de tout" : "je n'avais pas le droit de parole, je n'avais pas les dossiers, et je ne recevais plus de courrier" d'administrés. "Il a mis en place un fonctionnement dictatorial : il décide de tout", ajoute l'élue, qui explique avoir rendu sa carte du parti. Sollicité par l'AFP vendredi soir, le sénateur-maire n'a pas donné suite
La Marseillaise du 15 octobre
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