dimanche 26 octobre 2014

JOURNEE PORTE OUVERTE AUX MOULINS MAUREL


Regarder la « Journée porte ouverte » des Moulins MAUREL, un moment de rencontres, d’échanges, de nombreux militants communistes du 3ème étaient présents, l’emploi est au cœur de notre combat, le chômage n’est pas une fatalité dans une société à visage humain.

Tant que le seul but est l’argent et la spéculation les écarts de revenu entre une minorité très riche et les autres ne feront qu’augmenter

Les luttes paient
 
https://www.youtube.com/watch?v=iXK70vOQh7Y&feature=youtu.be

vendredi 24 octobre 2014

LA SNCM ET LE SYSTEME DE LA MYSTERIEUSE CORSICA FERRIES

Une trentaine de personnes ont assisté à la projection de ce documentaire "Les dents de la Mer" sur les low-cost 
Le système de la mystérieuse Corsica Ferries : un voyage en eaux troubles
Un débat intéressant avec des marins de la SNCM
Si vous voulez comprendre ce qui se passe avec la SNCM regarder ce documentaire, il ne dure que 45 mn

lundi 20 octobre 2014

PETITION CONTRE LA CORRUPTION

Corruption, ça suffit !
PETITION
Nous, citoyens, journalistes, magistrats, juristes, avocats, policiers, criminologues, sociologues, économistes, anthropologues et philosophes constatons une généralisation de la corruption qui met l’Etat de droit en péril et installe une insupportable fatigue démocratique. Cette menace sur notre République se nourrit certes de la banalité des conflits d’intérêts et des petits arrangements avec la morale civique, mais aussi de la faiblesse croissante des moyens de lutte contre ce dangereux fléau pour la démocratie.
Alors que le chaos politique n’est plus une hypothèse invraisemblable dans la France d’aujourd’hui, les signataires de cette alerte, forts de leurs expériences diverses, appellent les citoyens de notre pays à une mobilisation civique pour faire sauter les verrous institutionnels, culturels, politiques et judiciaires qui empêchent l’efficacité et autorisent le pire. Il est urgent de s’opposer réellement à la corruption.
Des solutions existent : indépendance du parquet, criminalisation de la corruption, suppression de la Cour de justice de la République, recrutement massif de magistrats, de policiers, de douaniers et d’agents du fisc, suppression du “verrou de Bercy” dans la lutte contre la fraude fiscale, réforme du système de déclassification du “secret défense”, réforme de l'article 40 du Code de procédure pénale pour une meilleure protection des lanceurs d’alerte dans la fonction publique, confiscation préventive des biens mal acquis et leur attribution au bien commun (associations, musées ou municipalités), vote d’une nouvelle loi bancaire instituant une séparation véritable entre les dépôts des épargnants et les fonds spéculatifs.
Les signataires de cette alerte citoyenne s’engagent à développer, avec toutes celles et tous ceux qui les rejoindront, leurs expertise et dénonciation communes de la corruption. Ils continueront de porter publiquement la double exigence de vérité sur les affaires et de vertu régénératrice de la République.
  
 
 Voici des livres et des personnes qui vous permettront de mieux comprendre la corruption et que vous verrez rarement dans les médias
La fraude fiscale qui cache souvent l’argent sale coûte 80 milliards d’euros
Fabrice Arfi de Mediapart – Le Sens des affaires (Calmann-Lévy)
Benoît Collombat de France Inter – Histoire secrète du patronat (La Découverte)
Antoine Peillon de La Croix – Corruption (Seuil).
Éric Alt, magistrat, vice-président de l'association Anticor et auteur de plusieurs ouvrages sur la corruption. Il tient aussi un blog sur Mediapart, L'esprit de corruption
 Chantal Cutajar, universitaire, directrice du Groupe de recherches actions sur la criminalité organisée (Grasco, université de Strasbourg). Retrouvez sa tribune publiée par Mediapart et intitulée Fraude fiscale : pour en finir avec le « verrou de Bercy »
William Bourdon, avocat, président fondateur de l'association Sherpa, dont l'objet est de protéger et défendre les populations victimes de crimes économiques. Auteur d'un Petit manuel de désobéissance citoyenne (JC Lattès, 2014) sur les lanceurs d'alerte
Monique Pinçon-Charlot, sociologue. Derniers ouvrages parus : La Violence des riches (ZONES, 2013), L'Argent sans foi ni loi (Textuel, 2012), Le Président des riches. Enquête sur l'oligarchie dans la France de Nicolas Sarkozy (La Découverte, 2010)
Antoine Garapon, magistrat, secrétaire général de l'Institut des hautes études sur la justice, éditeur, membre du comité éditorial de la revue Esprit
Jean-Paul Philippe, policier, ancien responsable de la Brigade centrale de lutte contre la corruption de la police judiciaire, coauteur de 92 Connection. Les Hauts-de-Seine, laboratoire de la corruption ? (Nouveau Monde Éditions, 2013)
 Paul Jorion, économiste, chercheur en sciences sociales. À revoir dans En direct de Mediapart d'avril 2014 sur l'austérité
Pierre Lascoumes, sociologue, auteur d'enquêtes sur les représentations sociales de la corruption et sur les politiques de lutte contre la délinquance financière
François Morin, économiste, auteur de La Grande Saignée. Contre le cataclysme financier à venir (Lux, 2013). Son blog sur Mediapart

samedi 18 octobre 2014

PROJECTION DU FILM "LES DENTS DE LA MER" et DEBAT


 
LES DENTS DE LA MER
 
Vendredi 24 octobre 2014
A partir de 18 heures
21 boulevard Leccia
13003 Marseille
La section P.C.F. du 3ème arrondissement de Marseille, vous invite à une soirée projection, débat, repas autour du film « Les dents de la Mer ».
Enrico PORSIA réalise ici un documentaire sur les enjeux autour du trafic maritime entre la Corse et le Continent et sur les méthodes ' de la compagnie low cost « CORSICA FERRIES ».
Un débat en présence de marins de la S.N.C.M. suivra la projection, nous partagerons aussi un repas composé par les mets que voudront bien emmener les participants (la boisson sera fournie par la Section).

 

vendredi 17 octobre 2014

ACCES AUX SOINS POUR TOUS


Marseille, dans « le quartier le plus pauvre du monde »

Lutter contre les exclusions et promouvoir un accès aux soins pour tous, telles sont les ambitions du Centre de soins de Médecins du monde, le Caso, situé dans le 3e arrondissement de Marseille. « Le quartier le plus pauvre de France où 53% de la population vit en dessous du seuil de pauvreté », indique Cendrine Labaume, coordinatrice générale du centre de soin dont la file active de patients ne fait qu’augmenter dans la seule et unique permanence d’accès aux soins de santé inconditionnel, universel, libre et gratuit.

Chaque année, ce sont plus de 4000 patients en très grande précarité dont les droits ne sont pas effectifs qui bénéficient d’un parcours de soins et d’un accompagnement social au Caso. Parmi ces patients dont le nombre ne cesse d’augmenter chaque année, le seuil de précarité grimpe sur l’échelle sociale et les professionnels de santé, qui représentent quelque 70 bénévoles toutes spécialités confondues, « reçoivent de plus en plus d’étudiants et de travailleurs pauvres, continue la coordinatrice, avec une nouvelle spécificité, celle des mineurs qui représentent 14% de la file active et dont 92% vivent également en dessous du seuil de pauvreté ».

En 2014, il n’existe toujours qu’une seule permanence d’accès aux soins de santé médico-sociale pour les adultes. Parallèlement, l’hébergement d’urgence est menacé, les lois contre l’habitat indigne ne sont pas ou mal appliquées et l’accès à l’eau, reconnu comme un droit fondamental par l’Assemblée générale de l’Onu, n’est pas applicable aux populations les plus exclues. Autant de facteurs qui impactent directement la santé des plus fragiles dont les conditions de vie ne permettent pas d’engager ou de suivre un parcours de soins. Autant de facteurs qui amènent l’équipe duCaso à tirer la sonnette d’alarme.
E.B.

La Marseillaise du 17 octobre

samedi 11 octobre 2014

UN EMPLOI POUR TOUS


UN EMPLOI POUR TOUS !!
RAPPELONS-NOUS

EN MARS Des habitants de la cité Félix Pyat ont décidé de bloquer un chantier de construction pour se faire embaucher.

A la suite de cette action plusieurs jeunes avaient été embauchés en nombre insuffisant à notre avis

ENSEMBLE ET NOMBREUX NOUS DEVONS DEFENDRE L’EMPLOI POUR TOUS….SANS CLIENTELISME.

NOUS AVONS ETE RECU PAR EUROMED

Nous avons fait connaitre nos revendications

-      A savoir que dans les chantiers initiés par Euromed, l’embauche pour l’insertion soit à la hauteur de 12%,  comme ceux obtenus par  les associations pour les travaux de la L2

-      Pour les autres,  informer la population lorsqu’un chantier débute, afin que les personnes intéressées  puissent déposer demande et  CV.

-      Que toutes les personnes soient rémunérées suivant les normes françaises (salaire et cotisations sociales).

Une autre rencontre est prévue en octobre ou novembre, nous serons exigeants afin que nos revendications soient réalisées

IL FAUT EMBAUCHER EN PRIORITE DES MARSEILLAIS ET EN PARTICULIER DE NOTRE QUARTIER.

FAITES VOUS CONNAITRE A EUROMED      Atrium 10.3 rue des DOCKS 

LES PERSONNES DE NOTRE QUARTIER VEULENT TRAVAILLER, LE CHOMAGE NOUS EST IMPOSE. DES SOLUTIONS EXISTENT

LE PCF DANS LE FRONT DE GAUCHE S’ENGAGE POUR DEFENDRE VOS DROITS.  

PAS UN SEUL CHANTIER DANS MARSEILLE NE DOIT DEMARRER SANS EMPLOYER DES PERSONNES DE NOTRE QUARTIER

mercredi 8 octobre 2014

SNCM SUPPRESSION DE 800 A 1000 EMPLOIS

 La SNCM envisagerait la suppression de 800 emplois
 
Le Monde.fr avec AFP et Reuters | • Mis à jour le
                                   
Frédéric Aplozzo, délégué CGT à la SNCM mardi soir.

La direction de la Société nationale maritime Corse Méditerranée (SNCM), proche du dépôt de bilan, a pour la première fois avancé une proposition chiffrée en vue d'une future restructuration, mardi 7 octobre. Devant les représentants du personnel, la compagnie maritime aurait présenté un nouveau « schéma d'exploitation » prévoyant la suppression de 800 à 1 000 emplois, sur 2 000 salariés actuellement, ont indiqué les syndicats à la sortie de la réunion.

Frédéric Alpozzo de la CGT a évoqué un plan « avec 800 à 1 000 emplois supprimés, et aucune garantie pour le personnel restant », quand Maurice Perrin, représentant de la CFE-CGC parle, lui de «  750 à 800 » suppressions de postes. La direction n'était pas joignable dans la soirée pour confirmer ces chiffres.
« La direction (...) s'était refusée jusqu'à présent à donner un tel chiffre, alors qu'elle l'avait certainement fixé dans ses projets. Il était temps que cela soit dit... », a ajouté M. Perrin. « Les représentants du gouvernement sont venus sans aucune réponse sérieuse », a pour sa part fustigé M. Alpozzo, alors qu'un médiateur envoyé par Paris, Gilles Bélier, participait également à la réunion. Il n'a pas souhaité s'exprimer à la sortie de celle-ci