jeudi 28 novembre 2013

AVENIR DU SITE DES CASERNES DU MUY

Réunion publique
Information, réflexions et propositions  sur :


« L’avenir du site des casernes du Muy »
« Le désenclavement du quartier »

Invité : Jean Canton, urbaniste
ex-directeur général de l'urbanisme et de l'habitat de la ville de Marseille

Lundi 02 décembre 2013 à 18h
Théatre des Bancs Publics
10 rue Ricard 13003
(derrière l’église, place Caffo)

Ce moment d’échange s’inscrit dans une action collective
 engagée par des habitants du troisième,
 en marche et en démarche,
 pour une maitrise d’usage citoyenne.



Contact mail : citoyensdu3@free.fr

mercredi 27 novembre 2013

PROTEGER L'ENVIRONNEMENT ET L'HUMAIN


A la section du PCF
21, bd Leccia
13003 - Marseille

Vendredi 13 décembre à partir de 18h

Projection-débat autour du film "La voix du vent".
Le dîner sera sorti du panier.

QUEL AVENIR POUR LE PORT

mercredi 13 novembre 2013

PÉNURIE DE CRÈCHES A MARSEILLE ET EN PARTICULIER DANS LE 3ème

Crèches à Marseille : Opacité et pénurie
C’est le 3ème arrondissement de Marseille qui a le moins de crèches

Au-delà du peu de visibilité de la ville en matière de garde individuelle (pour elle, il y aurait « 7 931 places auprès d'assistantes maternelles » alors que, d'après la Caf, seuls « 3 344 » enfants en bénéficient), la CRC met en évidence des « disparités territoriales » non seulement « croissantes » mais de surcroît « cumulatives ». Ainsi, au regard du taux de couverture, « plus de 40 points d'écart séparent l'arrondissement le mieux pourvu (8ème) de l'arrondissement le moins bien pourvu (3ème) ». C'est bien connu : les riches n'ont pas que ça à faire et les pauvres du temps et de la famille.
A cela s'ajoute l'opacité dans l'attribution des places : « Les parents ne sont pas informés de la tenue et des dates » des « réunions d'affectation », « la composition des réunions n'est ni connue, ni formalisée, ni publique » et « les réponses négatives ne sont pas transmises aux familles ». Cerise sur le gâteau ? « Il existe une procédure interne non écrite en cas d'intervention d'élus de secteur »...

Reste qu'avec moins de 6000 places pour 32 000 enfants de moins de trois ans, à Marseille, seul « un enfant sur trois bénéficie d'un mode de garde », « un sur cinq » l'étant « dans une structure collective » et « un sur dix par une assistante maternelle ». Dans sa réponse, la ville annonce, en additionnant le nombre d'enfants par assistante maternelle et en considérant qu'il y a jusqu'à trois enfants par place en crèche, « 17203 places d'accueil » et un « taux de couverture de 47%» ! Comme si la pénitentiaire confondait capacité d'accueil et surpopulation carcérale...        '

Alors, quand la ville assure avoir « créé 1 583 places de crèche entre 2007 et 2011 », la CRC corrige. « Entre 2007 et 2011, 1 583 places ont été créées, dont 1 089 par le secteur associatif, 429 par le secteur privé et 65 par la ville ». Et « si le secteur communal représente encore 43,43 % de l'offre d'accueil collectif, son poids est en diminution constante ».

Le Ravi

samedi 9 novembre 2013

EXPRIMEZ VOUS

Je ne sais pas si vous avez vu ce film " la part des anges " ??
Il dénonce  l’état de déliquescence de la société en Grande Bretagne.
 Mais dans le fond c’est bien la dénonciation d’une société qui abandonne sa progéniture.
 Dérive odieuse d’un système où l’humain et sa nature ne sont considérés que comme une marchandise par " les maître du monde" comme ils s’appellent eux-mêmes.
 Classes dominantes faisant preuve d’un eugénisme  exacerbé, camouflées par les guignols de l’audiovisuel masquant dans le mensonge la mise en esclavage des peuples.
 La résistance offensive appropriée doit être une des réponses pour porter nos idéaux de progrès et l’espoir.
  La  résistance locale faite d’initiatives collectives et constructives peut établir un rapport de force favorable,   avec l’engagement  et la créativité de chacun  et avec toutes les forces progressistes privilégiant l’humain, sa nature et son environnement.
 Des solutions locales sont du même ordre que des solutions mondiales, j’en veux pour preuve ces peuples qui relèvent la tête et confortent nos convictions.
 Attendre des jours meilleurs  dans ce capitalisme  serait une erreur, cette période nauséabonde avec ses relents fascistes me fait ressentir comme un air de putréfaction : Celui des valets serviles et cruels.  Celui des patrons avides et féroces
 La lutte de classe  est plus intense que l’on ne croit.  
 Les enjeux sont planétaires car les multinationales pillent les ressources de la planète quitte à rendre insalubres des territoires entiers.
 Pour conclure : une plante se bat pour assurer sa progéniture. Que dire de notre espèce qui dans ce système capitaliste abandonne la sienne.
 Faire autrement ce n’est pas la part des anges mais bien la part de l’humain.

 LUCIEN FRAU