jeudi 16 juin 2016

POEME DE LA PART DE MARIE-JO (ne sait pas qui l'a écrit) ET UN DE LUCIEN



On a relevé la tête ! Et on vous regarde dans les yeux !
On a relevé la tête ! Et on voit vos yeux rougis de rage !
On a relevé la tête ! Et on voit vos bouches écumantes de mensonges !
On a relevé la tête ! On ne la baissera plus !

On le la baissera plus car on voit clair dans votre jeu !
Vos mensonges, vos manipulations ne marche plus sur nous...
Vos médias nous mentent, vos médias nous méprisent, mais ils ne nous manipulent plus...
La crise n'existe pas et il faut un autre partage des richesses !
 
Il faut un autre partage des richesses car il n'y a jamais eu autant d'argent qui circule...
L'argent existe mais vous essayez de nous le cacher...
Vous qui n'avez jamais été aussi riches alors que d'autres n'ont jamais été aussi pauvres...
Vous qui clamez pour vous rassurer que la luttes des classes n'existe plus...

La lutte des classes n'existe plus, elle est ringarde exultez-vous !!
Mais vous vous trompez et nous sommes là pour vous le rappeler...
Notre camps ne cesse de grandir, nous sommes des millions, nous serons des milliards
Alors vos yeux rougissent et votre bouche écume mais rien n'y fait
 
On a relevé la tête ! Et on vous regarde dans les yeux !
On a relevé la tête ! Et on voit vos yeux rougis de rage !
On a relevé la tête ! Et on voit vos bouches écumantes de mensonges !
On a relevé la tête ! On ne la baissera plus !




Poème de Lucien
 
L’ombre
Un voile sombre drape le  matin
je relève la tête et aperçois
les chiens noirs qui mordent et aboient
Obéissant á leurs maitres malsains

Chiens de garde qui valsent autour de la proie

Un éclair déchire le ciel et la proie
Elle devient nuée colorée et épaisse
Elle est multitude compacte et diverse
Les chiens hurlent et se noient

Oh! Landes maudites et marécages putrides des socials traitres

Fuyez ou mourrez car la nuée croise 
un regard puis un autre et devient révolution

Un drapé rouge éclaire le soir
Je relève la tête et aperçois l’espoir

L’aube éclatante de fer chauffé
Tous maitres-chiens et valets
payerons le prix du sang versé
par le peuple dans sa chair offensé

L’ombre se déchire par la force de justes combats.

Lucien Frau 

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